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| Sujet: Brittany ❥ J’ai pas pleuré autant depuis Titanic... Lun 12 Sep - 15:53 | |
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stormy weather Célébrité de l'avatar : | WILLIAMS BRITTANY LEXIE AGE : 21 ans
DATE DE NAISSANCE : 1 mar 1991
LIEU DE NAISSANCE : Hertfordshire
ORIGINES : Anglaise
ÉTUDES OU PROFESSION : Serveuse dans un bar strip-tease
SITUATION AMOUREUSE : Célibataire
GROUPE :One Love
| Il était une fois Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de sa vie ! J'aimerais croire en cette citation plus que tout, du plus profond de mon âme, mais rien, je n'y arrive pas. Quoi qu'il arrive j'ai cette foutu impression qui me dit « c'est le destin tu n'y peux rien. » « C'est une magnifique petite fille brune. Vous avez choisi le prénom ? » Cette jeune femme d'une vingtaine d'année qui venait de mettre au monde son premier enfant, c'est ma mère. Elle était seule sur sa table d'accouchement, seule avec ce petit être que j'étais à l'époque. « Brittany. Elle s'appellera Brittany. » Je suis née il y a maintenant vingt et un ans à Houston en Angleterre. L’Angleterre merveilleux petit pays, mes fesses. Ma mère était une serveuse sans avenir, qui ne n'avait pas réellement d'ambition dans la vie du moins c’est ce que je pensais mais non elle n’était qu’une vulgaire prostitué. Quant à mon père, lui et bien il n'était rien qu'une blague ambulante. C'était un ranger de l'armée américaine et vétéran de la guerre du Golfe, d'après lui il avait tellement fait pour son pays qu'on devrait lui rendre au centuple ! Imbécile. Ils n'ont jamais été mariés et dans un sens ce n'est pas plus mal. « Tu sais John, la seule raison pour laquelle tu restes encore chez moi, c'est pour la petite, juste parce que je veux qu'elle ait un père, sinon toi et ta bière il y a longtemps que vous auriez quittés mon canapé » j'entendais mes parents s'engueuler, encore, j'avais l'habitude, seulement six ans et déjà une vision de la vie pas très glorieuse. « Tu me fais bien rire, pauvre idiote, si je suis encore ici c'est parce que tu as besoin de ma retraite. » quelque chose se brisa dans le petit salon et mon coeur manqua un battement, pourvu qu'il m'oublie ce soir, pourvu qu'il ne rentre pas dans ma chambre. Chaques soirs c'était la même chose, ils se battaient et je payais les pots casser, mais un jour ça finirais, un jour je partirais. Recroqueviller sur mon lit d'enfant je rêvais d'un monde meilleur, je rêvais de Paris en France. « Arrête, tu vas finir par tout casser. » les portes se claquaient et je ne bougeais toujours pas, la peur me contractait le ventre. Ce soir je serais tranquille, ce soir je pourrais enfin dormir. Ils se sont séparés l’année de mes cinq ans. Je n'ai pas toujours fais de bons choix dans la vie, je le sais, mais je pense que si je pouvais retourner en arrière, je ne changerais rien du tout ! C'est vers l'âge de treize ans que j'ai complètement déparée, les mauvaises fréquentations, le mauvais endroit au mauvais moment, l'envie de voir autre chose de la vie, que mon père m'envoyant contre un mur. C'est cette année là que la drogue m'ouvrit les bras, que ma première relation avec un garçon me fit du bien, la première fois que je voyais vraiment qui était ma mère. « Brittany tu vas arrêter l'école ça ne sert à rien.» Je la regardais complètement désespérer je ne voulais pas et pourtant je n'arrivais pas à dire « non » à ma mère, c'était tellement étrange entre nous. Elle m'aura au moins appris quelques petites choses, comme jouer de mes charmes auprès des hommes ou encore réussir à obtenir tout ce que je veux. C'est comme ça que j'ai eu mes premiers petits boulots. La douleur peut se manifester sous différentes formes. Ça peut être un petit pincement, une légère irritation, une douleur lancinante, une douleur que l’on supporte tous les jours. Et il y a le genre de douleur que l’on ne peut pas ignorer. Une douleur si grande, qu’elle bloque tout le reste. Et fait disparaître le reste du monde ! Jusqu’à ce que la seule chose à laquelle on pense, c’est à quel point on souffre ! La façon dont on gère notre douleur dépend de nous. La douleur... On la surmonte, on l’étreint, on l’ignore... Et pour certains d’entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c’est de foncer tête baissée. La douleur... Vous devez arriver à la surmonter. Espérer qu’elle disparaisse d’elle-même, espérer que la blessure qui la cause se referme. Il n’y a pas de solutions, pas de remèdes miracle. Vous devez respirer à fond et attendre qu’elle s’estompe. La plupart du temps, on peut gérer la douleur. Mais parfois, la douleur s’abat sur vous quand vous vous y attendez le moins. Elle vous attaque en traître et ne vous lâche pas ! La douleur... Vous devez juste continuer à vous battre parce que de toute façon vous ne pouvez pas l’éviter. Et la vie en fournit toujours plus !Je n'ai jamais cru que l'amour était une fin en soit et je n'y croirais jamais. L'amour n'est qu'une blague, rien de plus rien de moins, j'ai réussi dans la vie grâce au sexe, grâce à ma sensualité naturelle, jamais grâce à l'amour. Je n'y crois pas et ni croirais jamais ! J'ai un caractère de chien et alors ? Je suis impulsive et pas vraiment dans le bon sens du terme, je fonce toujours tête baissée et je réfléchie une fois que tout est fini. Prête à tout pour les gens que j'aime, je pourrais tuer pour eux, me foutre sous les roues d'une voiture s'il le faut. Fidèle en amour comme en amitié, lorsque je donne ma confiance en général ce n'est pas pour deux jours, c'est plus fort que ça, mais il ne faut pas jouer avec parce que je peux être vraiment méchante. Charmante et charmeuse, je joue de mes atouts. Je sais que je suis rancunière, on ne joue pas avec moi, je peux faire vraiment très mal. Manipulatrice, j’obtiens toujours ce que je veux, caractérielle, tête en l'air, je perds beaucoup trop de choses, je passe mon temps a cherché mes clefs, mon téléphone c'est horrible...Sarcastique j'ai toujours la petite phrase qui tue. Trop franche d'après certaines personnes mais, je m'en fiche, un peu de franchise ne fais pas de mal. Je suis une grande passionnée de la vie en général, Assez dépensière, accroc au café, coca, caramel, fraise, glace et champagne. Très peu souvent de mauvaise humeur, je n'aime pas qu'on me dise "non". Pas du tout superficielle, ni matérialiste, si je perdais toutes mes affaires dans un incendie et bien je rachèterais les mêmes choses tant pis. Parfois un peu trop protectrice avec les gens que j'aime. Épicurienne, cynique, têtu, très mauvaise perdante, enfin je préfère dire que je n'aime pas perdre ça fait plus classe. Cinéphile dans l'âme, grande fan de bandes dessinées et de Marvel. J'ai un tatouage sur la fesse gauche ! Belle brune aux cheveux longs je n'ai jamais osé imposer une couleur à mes cheveux, leur couleur naturelle est tellement lumineuse. Je mesure tout juste un mètre soixante-deux environ, je ne suis pas très grande mais, je porte des talons d'une dizaine de centimètre pour me grandir un peu, je possède des jambes interminables, en jupes en robe ou en pantalon, elles sont toujours misent en valeur. Le reste de mon corps reste bien proportionner. On me dit souvent que j'ai un regard lumineux et que l'on peut lire chacune de mes expressions les meilleures comme les pires. Je me suis fait mon premier tatouage le jour de mes dix-sept ans une inscription japonaise au creux des reins qui dit « je suis seul maître de mon destin. » et le second six mois plus tard une fée sur la nuque juste simplement parce que j'aime les fées.
C'est quoi ton petit nom ? Prénom/Pseudo : Ellaella Age : 23 ans Localisation : devant mon ordi Fréquence de connexion : 5/7 Exemple de rp : - Spoiler:
Nous retrouver bloquer ici dans ces toilettes, était plutôt impersonnel, nous aurions pu aller nous asseoir autour d'une table, boire un café et discuter de tout ça, mais, cette situation aurait été tellement loin de ce que nous étions. Durant tout le temps que notre relation avait durées Aidan avait toujours été là pour moi. Toujours protecteur et présent, parfois au détriment de ces autres amis, c'est comme ça que je pouvais savoir qu'il m'aimait, même si ces mots n'étaient jamais sortie de sa bouche. Avant Aidan je n'avais eu qu'une vraie relation, un garçon bien sous tout rapport sans problème, propre sur lui, gentil certes, mais, qu'est-ce qu'il m'ennuyait. Alors, quand j'ai rencontré Aidan, quand il c'est intéressé à moi, je me sentais différente, pleine de vie. Je connaissais bien la réputation que tout le monde lui donnait dans l'institue et pourtant j'ai eu l'audace de croire qu'avec moi ce serait différent. Et dans un sens ce le fut.
Nous nous faisions face dans cet endroit lugubre, vraiment pas le top pour une explication. Je ne voulais pas de ça seulement maintenant nous étions là alors autant en profiter. J'étais tellement déstabilisée que j'aurais pu tout lui dire là ici, lui dire que j'attendais un enfant, son enfant mais, à quoi bon ? Qu'est-ce que cela aurait vraiment changé dans notre relation ? Il serait revenu, il m'aurait demandé pardon ? À quoi bon ? Et Aidan ne devait pas être de ces garçons à avoir l'instinct paternel. Et je ne pouvais pas lui faire ça, il avait besoin de sa liberté et je ne pouvais pas lui prendre en lui annonçant qu'il allait être père. Même si ça m'enlèverait un poids, ça m'éviterait d'avoir à toujours l'éviter, de ne pas garder tout ça pour moi. Je me sentais coupable de ne rien lui dire, car malgré tout il devrait savoir
« Qui te dis que je ne l'ai pas déjà fait ? Je voulais pas passer pour un connard, je voulais juste m'assurer que tu allais bien, je ne suis pas non plus totalement sans coeur. » Qui te dit que je ne l'ai pas déjà fait ? Cette phrase résonnait sans cesse dans ma tête, bien sûr je n'en avais aucune certitude. D'ailleurs le connaissant en un mois il devait y avoir plus d'une fille qui était passée dans son lit. Je ne devais pas y penser ça me boufferait de l'intérieur. « Je n'en sais rien, peut être que tu l'as déjà fait, de toute façon je ne te reconnais pas, alors je ne sais pas. Ne pas passer pour un connard ? Mais, Aidan il ne fallait pas me traiter comme tel. » Je soupirais je me sentais mal de lui en balancer autant de choses d'un coup. Il ne méritait surement pas ça, où alors oui, je n'en savais rien, je n'étais plus rationnelle dans mes paroles, lorsqu'il était près de moi je n'étais plus rationnelle en rien.
« Tu sais Aidan, j'ai vraiment cru avoir eu un peu d'importance dans ta vie, j'ai vraiment cru que tu m'avais aimé. » « Je ... » Il quoi ? Pourquoi ne pouvait-il pas juste me dire ce qu'il pensait, ce qu'il y avait au fond de lui. Mais, non c'est surement l'une des rares choses qu'il n'a pas changé pour moi. « Tu n'as rien à dire comme toujours. » Bon sang ce que je pouvais lui en vouloir de ne rien faire pour arranger les choses de rester là à me regarder m'enfoncer. Lorsqu'Aidan posa sa main sur ma joue, tout mon corps se mit à frissonner, j'avais oublié à quel point le contact de sa peau me faisait un bien fou. A quel point il pouvait me sentir bien rien qu'à son contacte.
« Je t'aimerais surement toujours Maxie » ces mots me faisaient l'effet d'un couteau en plein coeur, comment pouvait il me dire ces mots-là, ici, maintenant, comme ça. Je me sentais mal, j'avais juste envi de l'embrasser de le serrer contre moi, mais, la seule chose que je pus faire c'est le frapper, cogner mes petits poings contre son torse. Il ne devait pas sentir grand-chose mais, me défouler me faisait un bien fou. « Pourquoi Aidan, pourquoi tu me dis ça ici maintenant ? Pourquoi tu me fais ça. J'en peux plus, je t'aime Aidan... Je t'aime et tu me tue de l'intérieur. » Ma tête me tournait et je me laissais glisser le long de la porte, lassée et fatiguée de toute cette histoire.Ma tête me tournait et je me laissais glisser le long de la porte, lassée et fatiguée de toute cette histoire. Où as tu connu le forum : par pub Un petit avis dessus : le design est génial et l'ambiance à l'air surper Code du règlement : Ok par Selena
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