♣ Date d'inscription : 06/09/2011 Messages : 96 ♣ Où suis - je? : Hein ?
Me, myself & I Statut: Célibataire ♣ Humeur: (100/100) ♣ Mes relations : | Sujet: Give a little More Babe - Aubrey [Finish] Mar 6 Sep - 17:17 | |
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© Diamine Célébrité de l'avatar : Ashley Benson | AUBREY SAMANTHA MARIN AGE : 19 ans
DATE DE NAISSANCE : 7 Novembre 1991
LIEU DE NAISSANCE : New York
ORIGINES : Françaises
ÉTUDES OU PROFESSION : Serveuse && Etudiante
SITUATION AMOUREUSE : Célibataire
GROUPE : Just Dance
| Il était une fois « It's not making me disappear I'm going to change ... » 7 Juillet 1998Mlle Marin ! S'il vous plaît ! Revenez ici ! Revenir avec cette vieille folle ? Mais était-elle aveugle ? Quelle enfant de huit ans aurait aimé rien qu'un instant, rejoindre cette Madame Boublimak, afin qu'elle vous apprenne les bonnes manières ? Il était déjà compliqué pour la petite Aubrey de vivre dans cet endroit, entourée de tous ces enfants surexités et bavards qui passaient leurs journées à raconter leurs exploits dont elle n'en avait rien à faire. Aubrey était une enfant turbulente, avancée pour son âge, capricieuse et gourmande, elle ne supportait ni l'ennui, ni la défaite. Elle devait toujours être la meilleure, la gagnante. Une enfant tel quel aurait pu rester dans une école publique, chez ses parents, sauf que Aubrey n'était pas réellement aimée par ses parents. Du moins, elle en était convaincue. Ses parents étaient tous deux médecins, l'un dans la neurochirurgie, l'autre dans la dermatologie. Imaginez une enfant, qui lorsqu'elle se couche le soir, ne trouve pas ses parents pour pouvoir leur raconter sa journée, et qui lorsqu'elle se lève, se retrouve suivie par une "Nounou", qui ne cesse de lui répéter des "Fais pas ci, fais pas ça". Mlle Marin n'aimait pas les ordres, ni les règles et ne les aimera jamais. Alors dès qu'elle pouvait, elle attirait l'attention de ses parents sur elle. Après avoir coupé ses cheveux à l'aveugle et mit le feu à la cuisine en voulant faire un gateau pour ses parents, ils décidèrent de l'envoyer dans un pensionnat pour enfant turbulents, soit disant pour "lui remettre les idées en place". Mais elle les avait les idées en place ! C'était eux qui ne les avaient pas, c'était eux qui ne voyaient pas tout le mal qu'ils faisaient à leur fille. Certes, ils avaient tous deux de durs travails, mais ce n'était pas une raison de négliger son enfant. Aubrey ! Revenez donc ici ! Cria de plus belle Madame Boublimak. La petite Aubrey continua de courir dans les couloirs, tenant dans ses petites mains des paires de lunettes volées d'autres élèves qu'elle avait trouvé jolie. Dans vos rêves Madame Bouboule ! Ria-t-elle en s'échappant de l'immeuble. Derrière elle, elle entendait des gens courir et crier après elle. Peu importait de toute manière, elle s'en irait d'ici, tout était déjà tout prévu. « In one day, everything can change. From happiness replaced by sadness ... » 7 Juillet 2005Il était là-bas, il la regardait, sans bouger. Aubrey en était boulversée. Cela faisait deux ans qu'ils ne s'étaient pas vus, elle le voulait, et cela depuis des années. C'était avec lui qu'elle avait réussie à retrouver ses parents après s'être enfuie du pensionnat. Il avait deux ans de plus qu'elle. Lorsqu'elle était sortie en courant, elle était tombée nez à nez avec lui, il était là, tout seul, et s'apprétait lui aussi à partir. Ils ont décidés de partir ensembles, et il l'a aidé à retrouver sa famille. Lorsque ses parents l'ont récupérés, pleine de Terre et toute décoiffée, ils n'ont pas compris, mais ils savaient qu'ils ne devaient plus l'envoyer là bas. Après quelques excuses auprès du pensionnat, ils la replacèrent en école publique où elle se tint à carreau. Du moins pendant quatre ans, car lorsqu'elle tomba amoureuse du garçon du pensionnat. Ses parents lui interdirent de le voir, car celui-ci était considéré comme un "délinquant". Naturellement, Aubrey se rebella, et malgré tout, garda contact avec lui. Et après avoir été séparé deux ans, elle le retrouvait enfin. Ses cheveux noirs, ses grands yeux verts, ses lèvres pleines et ses dents blanches. C'était un homme maintenant, elle sourit de plus belle, et marcha lentement vers lui. Elle s'arrêta à deux mètres de lui et murmura son prénom, puis elle se jetta dans ses bras. Tu m'as tellement manqué ! Dit-elle, les larmes aux yeux. Il la regarda impassible. Mais où était donc pssé son sourire ? Pourquoi ne souriait-il plus ? Dans ses yeux, du regret, de la tristesse. Elle se mit à paniquer. Aubrey... Il caressa son visage du dos de sa main. Je dois partir, rien ne va plus. Sa voix se brisa et il baissa, non seulement le regard, mais aussi sa main. Elle sourit et annonça : Très bien, lorsque je rentre, je prépare mes affaires. Comme d'habitude, Aubrey en voulait toujours plus. Il soupira et plongea son regard dans le sien. Non Aubrey, je pars seul. Elle cru que le ciel allait lui tomber su la tête. A peine venait-elle de le retrouver qu'il songeait déjà à l'abandonner ?! Elle ne pouvait tolérer cela. Mais tu m'aimes ! Tu me l'as dit ! Se mit-elle à crier. Il la regarda, sur le point de fondre en larmes et la prit dans ses bras. C'est seulement à cet instant qu'elle se rendit compte qu'elle pleurait. Il n'y avait rien à faire, elle le savait. Pour la première fois de sa vie, elle embrassa un garçon, et quelques jours plus tard, il était parti. J'ai un caractère de chien et alors ? Aubrey est une véritable force de la nature. Elle est toujours prête à faire la fête, à aider les autres. Elle est espiègle et maligne. Elle a deux gros défauts, c'est non seulement une pyromane, mais en plus une cleptomane, et cela depuis qu'elle a quinze ans. Elle est souriante et rigolote, souvent les gens disent d'elles que c'est une personne "délicieuse". Elle peut aussi être vache et manipulatrice, mais cela n'arrive que dans des cas d'extrême urgence. Elle peut aussi se montrer agressive et très rancunière. Elle n'aime pas perdre, et n'aime pas qu'on se fiche d'elle. Elle est colérique et très jalouse. Mlle Marin est aussi très gourmande et très dépensière. Elle ne compte jamais, que ce soit pour les autres ou pour elle. Elle est donc très généreuse et très attentive. Elle est très forte, et peut encaisser beaucoup de choses, et se relever par la suite. Elle ment souvent, car elle ne veut pas parler d'elle aux autres, ou tout simplement pour protéger ses amis. Elle est loyale et fidèle, et ce n'est pas une fille facile. Et pérsévère, ne lâche jamais rien, ce qui fait d'elle une chieuse. Elle est assez mystérieuse, et ne parle jamais d'elle. Par contre, elle est très bavarde. J'ai un tatouage sur la fesse gauche ! La première chose à savoir sur Aubrey, c'est qu'elle ne néglige pas son apparence. Elle s'est donnée comme objectif de toujours être présentable et de toujours avoir les tenues adéquates pour ce qu'elle a à faire. Elle n'est pas du genre à se mettre à râler si ses nouvelles bottes sont pleines de terre, elle est plutôt celle qui va soupirer, essayer de les nettoyer un minimum pour ne pas faire "négligée" et à repartir tranquillement, la tête haute. Elle s'habille en fonction de ses humeurs, la plupart du temps en femme : slim et talons, mais il lui arrive aussi de se vêtir d'un vieux Baggy délavé et d'une chemise d'homme. Elle ne se prend pas la tête, mais fait tout de même attention. Quant à ses longs cheveux blonds, elle essaie de changer, de se les attacher un jour, et de les laisser boucler naturellement sur ses épaules le lendemain. Un maquillage léger mais glamour qui met en avant ses traits fins et réguliers et pour finir les accessoires pour donner du caractère à son style . Plutôt bien proportionné, des formes là où il en faut, Aubrey fait tourner pas mal de tête. Et peut-être la tienne Invité Qui sait ?
C'est quoi ton petit nom ? Prénom/Pseudo : Louise/Scream Age : 15 ans Localisation : Yvelines Fréquence de connexion : 5/7 Exemple de rp : - Spoiler:
Ana E. Goualc'h & Pâris H. Callaway A s'approcher trop près des fuseaux, on fini par se piquer et par ne jamais se réveiller. "La Renaissance ne se présente pas comme un progrès continu. La beauté y a constamment côtoyé la cruauté, et l'ombre la lumière." revue Le Monde de l'éducation - Juillet - Août 2001 - Jean DelumeauIl y avait des choses dans la vie que l'on ne pouvait décider. Si j'avais eu le choix, j'aurais choisis de mourir, au lieu de me transformer en monstre. Ma vie ne vallait pas plus que celle de tous les innocents que j'avais pu massacrer, et ça, je le savais, bien avant de me tranformer en vampire. Il y a aussi des choses dans la vie que l'on ne peut pas contrôler, comme cette soif vous dévorant l'intérieur, vous brûlant chaque parcelle de votre corps tant que vous ne l'avez pas fait disparaître en vous nourissant d'un liquide pâteux et rouge foncé : le sang. La transformation changeait bien des choses, avant, le sang n'était que le liquide qui parcourait mon corps et me permettait de vivre, ce liquide avec ce goût et cette odeur si métalique, si répugnante. Et désormais, le sang était tout. Non seulement un moyen d'écarter la souffrance de moi, mais aussi de me procurer du plaisir. Le sang était mon obsession. Et même deux cents ans après, cela me faisait toujours bizarre de le désirer autant. Je continuais de regarder cette femme, cette femme que j'avais condamné à la mort et qui n'avait rien demandé. Je m'en voulais tellement d'avoir été aussi incontrôlable que je ne pouvais penser à autre chose. Je ne pouvais m'empêcher de me remémorer toutes les solutions possibles et toutes les scènes qui auraient pu se passer si j'avais été assez fort. Car oui, la vérité n'était pas que j'étais incontrôlable, mais que j'étais tout simplement faible. Je l'avais toujours été, et c'est bien pour cela que je m'étais fait avoir par Léonore. Est-ce que je vais mourir ? J'avais tellement envie de lui répondre "Oui, Oui, tu vas mourir, bientôt, tout sera terminé pour toi et tu pourras t'en aller tranquille". Mais je ne pouvais me résoudre à lui répondre cela, elle paraissait tellement accrochée à la vie, elle était forte, elle se battait. Et puis, qui étais-je pour décider qui allait vivre ou qui allait mourir ? Je n'étais que ce pauvre petit Parisien, d'origine Anglaise, qui n'avait jamais eu de vie, et qui avait essayé de se construire une personne en condamnant sa famille à la mort. Elle devait vivre, elle devait devenir comme moi, même si moi ce que je désirais, c'était d'être comme elle. Non, tu ne vas pas mourir. Je ne pus répondre que cela, je ne parvenais pas à réfléchir. Je restais là, des heures encore, à attendre, patiemment. De toute manière, j'avais bien du temps devant moi. Puis elle se mit à hurler, s'époumonnant entre plusieurs hurlements : J'ai... mal... Mon cou... ça brûle ! Mon cou brûle ! Le feu ! Arrêtez le feu !. Je conaissais cette douleur, tout simplement parceque je l'avais moi-même subit deux siècles auparavant. Je ne pouvais la voir comme ça, alors je la laissais, et partais faire un tour. Je ne pouvais qu'attendre, c'était la meilleure chose à faire. Je décidais d'aller lui chercher de quoi se nourir, c'était sûrement le chose la plus intelligente à faire. Alors j'allais tuer une personne en phase terminal et lorsque je revins, elle était debout dans le salon, mon journal dans les mains. Où as tu connu le forum : Classement RPG Un petit avis dessus : J'adore Code du règlement : Ok par Selena
Dernière édition par Aubrey S. Marin le Mer 7 Sep - 19:53, édité 9 fois |
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